CIFOR-ICRAF aborda desafios e oportunidades locais ao mesmo tempo em que oferece soluções para problemas globais para florestas, paisagens, pessoas e o planeta.

Fornecemos evidências e soluções acionáveis ​​para transformer a forma como a terra é usada e como os alimentos são produzidos: conservando e restaurando ecossistemas, respondendo ao clima global, desnutrição, biodiversidade e crises de desertificação. Em suma, melhorar a vida das pessoas.

O CIFOR-ICRAF publica mais de 750 publicações todos os anos sobre agrossilvicultura, florestas e mudanças climáticas, restauração de paisagens, direitos, política florestal e muito mais – em vários idiomas..

CIFOR-ICRAF aborda desafios e oportunidades locais ao mesmo tempo em que oferece soluções para problemas globais para florestas, paisagens, pessoas e o planeta.

Fornecemos evidências e soluções acionáveis ​​para transformer a forma como a terra é usada e como os alimentos são produzidos: conservando e restaurando ecossistemas, respondendo ao clima global, desnutrição, biodiversidade e crises de desertificação. Em suma, melhorar a vida das pessoas.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

Richard Eba’a Atyi

Les universités et institutions de recherche ont notamment pour vocation de produire des nouvelles connaissances, et ce principalement sous la forme de publications scientifiques. Le programme en Recherche appliquée en écologie et en sciences sociales en appui à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale (programme RESSAC) vise à assurer que, parallèlement à ce mode de fonctionnement « scientifique », les recherches conduites soient aussi pratiques que possible et que les résultats obtenus répondent aux préoccupations et soient rapidement assimilables par les acteurs de terrain (tant par les acteurs du secteur privé qu’au sein des organisations de la société civile, des institutions publiques ou même au niveau des projets d’appui à la gestion durable des ressources naturelles et au développement socio-économique local).

Financé par l’Union européenne pour une durée de quatre ans (2022-2025) et mis en œuvre par le Centre de recherche forestière internationale et le Centre international de recherche en agroforesterie (CIFOR‑ICRAF), le programme RESSAC vise à renforcer l’impact de cette recherche sur la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale.

Les objectifs spécifiques du programme sont d’organiser et de soutenir des recherches appliquées visant à renforcer les connaissances en sciences sociales et en écologie sur la gestion et la valorisation des ressources naturelles dans les écosystèmes forestiers d’Afrique centrale ; et de favoriser l’utilisation de ces connaissances dans les modes opératoires des acteurs ciblés et dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi des politiques publiques et des programmes d’aide au développement durable en Afrique centrale.

L’une des premières activités de ce programme a consisté à sélectionner des projets de recherche innovants en écologie et en sciences sociales. Neuf projets ont été retenu à l’issue de l’évaluation des projets soumis dans le cadre du premier appel à projets. Par la suite, les post-doctorants et les étudiants en Master ont été recrutés dans la plupart des projets, conformément au cahier des charges. La plupart des projets étant lancés, un atelier d’échanges et de concertation pour parvenir à un cadre d’action et de suivi harmonisé des projets retenus sera organisé du 4 au 7 juillet 2023 à Ebolowa au Cameroun.

Trente-huit (38) personnes de différentes institutions participeront à cet atelier, dont 27 participants des consortia, la COMIFAC, l’Union européenne et la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC). À l’issue de cet atelier il est attendu que les participants reçoivent le même niveau d’information sur les attentes et les délais de gestion des projets RESSAC, et qu’ils créent de nouveaux réseaux tout en renforçant leurs méthodes de recherche.