CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR-ICRAF publie chaque année plus de 750 publications sur l’agroforesterie, les forêts et le changement climatique, la restauration des paysages, les droits, la politique forestière et bien d’autres sujets encore, et ce dans plusieurs langues. .

CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

Couverture médiatique

Couverture médiatique

Chaque année, les recherches et les scientifiques de CIFOR-ICRAF apparaissent plus de 3000 fois dans les médias du monde entier. Retrouvez ici quelques-uns des faits marquants, avec plus d'une décennie d'archives.

Lutte contre la déforestation au cœur du Bassin du Congo. Paysage de Yangambi, poumon du monde en réanimation (Journal Karibu)

Photo by Axel Fassio/CIFOR-ICRAF
Ici, la pépinière de la vallée d’Isalowe à Yangambi, 100 km de Kisangani. Il y en deux dans la cité et une à Yanonge. Tropenbos RDC en compte une à Yaoseko, 32 km de Kisangani. Les travaux de plantation démarrent par les pépinières à travers une bonne planification. Une fois la superficie à reboiser est déterminée commencent les travaux de pépinières de manière à ce que les plantules réalisent 2 moi et demis avant d’être transplantés.
RDC, Tshopo, territoire d’Isangi. A califourchon sur le fleuve Congo, le paysage de Yangambi est très connu pour la Réserve de Biosphère de Yangambi, 25 milles hectares de forêts, située dans la cité de même nom, en aval du fleuve Congo, à cent kilomètres de Kisangani. Depuis dix ans, des organisations environnementales y affluent pour lutter contre la déforestation. Des projets aussi longs que courts destinées aux activités économiques paysannes afin de réduire leur dépendance des forêts. Dans la foulée, on a vu arriver une suite d’organisations caractérisées par la méthode et la vision à très long terme.

Avec le soutien du Rainforest Journalism Fund (RJF) en partenariat avec Pulitzer Center, les reporters Orphée Fundi et Jean Fundi Kiparamoto, armés de stylographe, dictaphone et caméra, prennent le chemin de Yangambi, l’El Dorado. Les taxis motos arrivent au soir au Beach de Yangambi. Au parking, tout le monde connaît le camp Base Vie où ils comptent beaucoup de clients. Le camp se trouve derrière le couvent Marie de l’Assomption. Le terrain avait offert depuis 2017 par des prêtres catholiques. À présent, c’est des bureaux et des maisons préfabriqués sous l’ombrage de 5 ha regarnis d’arbres, où vivent les travailleurs de CIFOR-ICRAF et RSD : des forestiers, mécaniciens, nettoyeurs, cuisiniers, électriciens, logisticiens, sensibilisateurs, conducteurs d’engins.

A partir de Yangambi, les reporters doivent couvrir le village de Yaoseko, plus au sud-est de Yangambi, à 32 km de Kisangani, où travaille Tropenbos RDC ; Yanonge et la cité d’Isangi et alentours, où avaient opéré OCEAN et PRAPO, et où opèrent également Jadora-Isangi REDD+, CIFOR et Enabel. C’est respectivement à 62 km et 100 km de Kisangani. Voici la première partie de ce reportage multimédia.
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