CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR-ICRAF publie chaque année plus de 750 publications sur l’agroforesterie, les forêts et le changement climatique, la restauration des paysages, les droits, la politique forestière et bien d’autres sujets encore, et ce dans plusieurs langues. .

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Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

Evolution des populations de Bemisia tabaci Genn. selon les varietes de tomate (Solanum lycopersicum L.) au centre de la Cote d'Ivoire

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La mouche blanche, (Bemisia tabaci Genn.), est le vecteur de la s_vère maladie de l'enroulement jaunissant des feuilles de la tomate (TYLC) qui limite consid_rablement sa production. Le rôle que joue cette culture, en tant que r_servoir de B. tabaci a été d_termin_ par le d_nombrement des populations de l'insecte, à la Station de Recherche sur les Cultures Vivrières du Centre National de Recherche Agronomique à Bouak_, de d_cembre 2000 à f_vrier 2002. Cinq variétés de tomate, dont un t_moin local (ABBA), deux variétés tol_rantes au TYLC (CLN2116B et CLN2123A) et deux variétés sensibles (IDSA108 et IDSA109), ont été _valu_es à travers six essais sans traitements phytosanitaires. Ces variétés ont toutes h_berg_ des adultes et des larves de B. tabaci. Le semis de juin 2001 a enregistr_ le plus faible effectif avec une larve et deux adultes, tandis que celui de d_cembre 2000 a connu plus de prolif_ration de B. tabaci avec six larves et six adultes. Le t_moin local a enregistr_ le plus faible effectif de B. tabaci et le plus faible pourcentage de plants contamin_s comparativement aux autres variétés et peut par cons_quent être utilis_ dans des travaux ult_rieurs de s_lection.

DOI:
https://doi.org/10.4314/scinat.v7i1.59918
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