CIFOR-ICRAF aborda retos y oportunidades locales y, al mismo tiempo, ofrece soluciones a los problemas globales relacionados con los bosques, los paisajes, las personas y el planeta.

Aportamos evidencia empírica y soluciones prácticas para transformar el uso de la tierra y la producción de alimentos: conservando y restaurando ecosistemas, respondiendo a las crisis globales del clima, la malnutrición, la pérdida de biodiversidad y la desertificación. En resumen, mejorando la vida de las personas.

CIFOR-ICRAF produce cada año más de 750 publicaciones sobre agroforestería, bosques y cambio climático, restauración de paisajes, derechos, políticas forestales y mucho más, y en varios idiomas. .

CIFOR-ICRAF aborda retos y oportunidades locales y, al mismo tiempo, ofrece soluciones a los problemas globales relacionados con los bosques, los paisajes, las personas y el planeta.

Aportamos evidencia empírica y soluciones prácticas para transformar el uso de la tierra y la producción de alimentos: conservando y restaurando ecosistemas, respondiendo a las crisis globales del clima, la malnutrición, la pérdida de biodiversidad y la desertificación. En resumen, mejorando la vida de las personas.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

Les haies vives au Sahel: état des connaissances et recommandations pour la recherche et le développement

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En Afrique tropicale, la production agricole était autrefois basée sur le système de culture itinérante, comprenant de courtes périodes de culture (3 à 6 ans) et de longues périodes de repos (terre en jachère). Les terres étaient relativement abondantes et le système reposait sur la maximalisation de la productivité par unité de travail (Ruthenberg, 1976). La productivité par unité de surface était faible. Sans apports d’intrants externes, le système était cependant en équilibre avec les conditions écologiques de la région (Nye et Greeland, 1960). Au cours des 50 dernières années, l’exploitation des ressources naturelles dans la zone ouest africaine en général est devenue de plus en plus intensive. En raison de la croissance démographique et des aléas climatiques, l’espace agricole soudano-sahélien s’est étendu. Haywood (1981) a montré au Mali Central que les zones cultivées se sont accrues de 2,7 % entre 1952 et 1975 sur 60 000 km 2 . Karembé et al. , (1998) signalent un doublement des superficies cultivées de 1952 (31 % du terroir) à 1996 (70 % du terroir) dans le terroir de Lagassagou situé en zone soudanienne nord (cercle de Bankass). L’introduction des cultures de rente, accompagnée de la culture attelée, a également conduit à augmenter l’utilisation de l’espace consacré à la production agricole.

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