CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR-ICRAF publie chaque année plus de 750 publications sur l’agroforesterie, les forêts et le changement climatique, la restauration des paysages, les droits, la politique forestière et bien d’autres sujets encore, et ce dans plusieurs langues. .

CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

La pisciculture comme moyen de subsistance durable (Yanonge, RDC)

Helena Fatuma est présidente d'une association locale de femmes de Yanonge qui produit du poisson dans de petits étangs pour approvisionner le marché local. La surpêche pratiquée dans le fleuve Congo fait ressortir un besoin pressant d'alternatives en protéines animales pour nourrir la population locale croissante ; c’est le constat de ce groupe de femmes qui tentent à présent d'apporter des solutions. Sélectionnées par le CIFOR-ICRAF en 2019, elles ont reçu une formation sur les techniques de pisciculture améliorées et les compétences financières. L'association d’H. Fatuma fait actuellement partie d’un ensemble de plus de 60 petites entreprises du paysage de Yangambi qui bénéficient d’un soutien pour développer des activités économiques durables.

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